Prêt pour un nouveau chapitre

Jacques Tréhout a toutes les raisons d'être fier d'Aquares, l’entreprise qu'il a fondée il y a 15 ans. "C'est mon rêve. Comme je travaille seul, j'ai vraiment le sentiment d'être libre. J'aime tout dans mon travail, même l'administration."

Dans son entrepôt de Schaerbeek, Jacques stocke méticuleusement sa marchandise et prépare ses commandes. Mais ce qu'il préfère par-dessus tout, c'est prendre la route. "Quand le soleil brille et que je pars livrer mes clients, je suis le plus heureux du monde."

Même si l’eau n’est pas trop son élément, Jacques aime ce qu'il vend. Maillots de bain, bonnets, lunettes de plongée... "Ce sont des articles aux couleurs vives et mes clients, que ce soient des écoles ou des clubs sportifs, sont toujours contents quand j'arrive."

Un changement dicté par le coronavirus

Mais le coronavirus a soudain débarqué et a rompu tout contact avec les clients. Les chiffres de vente ont commencé à plonger eux aussi. "Les piscines et les écoles avaient fermé leurs portes, et certains clients ne pouvaient pas me payer. Je commençais à paniquer, je ressentais les mêmes appréhensions qu'à mes débuts." Mais Jacques a décidé de réagir. Pour la première fois depuis la création d'Aquares, il a appelé à l'aide. Il avait pris sa décision : il allait vendre en ligne.

Vendeur en ligne et photographe

"Je n'avais pas le bagage technique nécessaire pour créer moi-même un site web avec une boutique en ligne. Alors j'ai cherché. Bizz Online offrait un bon service à des prix compétitifs. Jusqu'ici, je suis hyper content. Le site marche bien et je peux proposer à tout moment des améliorations."

Car Jacques ne serait pas lui-même s'il ne prenait pas les choses en main. Il connaît son site jusque dans ses moindres recoins et appelle régulièrement sa personne de contact. Les photos sur son site ? Il les prend lui-même. "J'ai aménagé un petit studio spécialement pour ça. J'envoie les photos et Proximus les met en ligne. C’est top !"

Un fonceur

"J'ai travaillé pour une entreprise pendant vingt ans. Il y avait beaucoup de stress. Un jour, je me trouvais sur le parking d'un grand magasin après une longue journée de travail et je me suis dit : Ça suffit. C’est fini de travailler pour un patron. Je rêvais d'autonomie. Mon entourage semblait croire en moi, même s'il n'y a pas d'indépendants dans la famille. J'ai donc pris le taureau par les cornes. C'était maintenant ou jamais. J'avais 45 ans à l'époque."

Paré pour demain

À près de 60 ans, Jacques est prêt pour un nouveau chapitre. "Je continuerai toujours à livrer moi-même mes clients, parce que j'adore ça. Mais je vais poursuivre la vente en ligne via mon site web." Avec Bizz Online, Aquares est parée pour l’avenir.

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