Voici comment ‘Gaby oh Gaby’ a lancé la carrière d’Alain Bashung

Musique |

Le mercredi 11 avril, France 4 diffuse le documentaire ‘Immortel Bashung’. Images d’archives et reprises de son répertoire rendent hommage à ce monument de la chanson française. Proximus Pickx revient sur sa carrière et, plus précisément, sur la chanson qui a tout changé pour lui : voici comment ‘Gaby oh Gaby’ a lancé la folie Bashung. 

De Pickx

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Pas de doute, la musique a fait partie de la vie d’Alain Bashung depuis toujours. Alors qu’il n’avait que 5 ans, son père lui offre un harmonica Rosebud qui devient son jouet préféré. Il est scotché au poste de radio, écoutant en boucle ses chansons préférées. Il est enfant de choeur et beigne dans les chants religieux. Très vite, il découvre le rock’n’roll et vit une révélation à travers ce genre musical. 

Il poursuit sa découverte de la musique en recevant une guitare à ses 12 ans, en assistant à des concerts et en écoutant les plus grands : d’Edith Piaf à Elvis Presley, en passant par Gene Vincent, il affute son amour pour l’univers musical. Alors qu’il est encore étudiant, il fonde son premier groupe de musique, ‘Les Dunces’, à la croisée du rockabilly, de la country et de la folk. 

S’il commence jeune, il faudra cependant plusieurs années à Alain Bashung pour faire sa place. Son premier 45 tours, ‘Pourquoi rêvez-vous des Etats-Unis’, sort en 1966 alors qu’il n’a que 19 ans. S’il fait des rencontres déterminantes auprès de musiciens influents, ses chansons ne remportent pas un succès détonnant. Il faudra qu’il patiente jusqu’à la fin des années 70



Bashung croise le chemin de Boris Bergman, qui lui écrit son premier tube à succès : ‘Gaby oh Gaby’. Le chanteur est alors âgé de 35 ans et il n’a jamais cessé de persévérer pour faire de la musique. ‘Gaby oh Gaby’ lui offre enfin la consécration dont il rêvait ! Un succès qui s’explique, en partie, par l’improvisation de certaines paroles. 

Les deux dernières phrases de la chanson, par exemple, sont restées dans les annales ! "Alors à quoi ça sert la frite si t’as pas les moules, Ça sert à quoi l’cochonnet si t’as pas les boules ?", phrases chantonnées en studio sur le ton de la blague, ont finalement participé à la légende qu’est devenu ce tube. Alain Bashung vend des millions d’exemplaires de ce tube et devient le grand artiste dont on se souvient. Le reste appartient à l’histoire et vous est raconté dans le documentaire inédit ‘Immortel Bashung’. 

Regardez ‘Immortel Bashung’ le mercredi 11 mai à 21h10 sur France 4 ou sur Pickx.be ou l'app de Proximus Pickx. Via TV Replay, vous pouvez regarder le programme jusqu'à 36 heures plus tard quand vous le souhaitez, ou également sur le site ou l'app 7 jours après sa diffusion !

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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