Le Lierse furieux après le huis clos : "Il n'y a pas que le VAR qui doit changer"

Sports | Le Lierse a été condamné mercredi à une amende et à jouer un match à huis clos après que des supporters des Pallieters aient allumé du matériel pyrotechnique et jeté des gobelets sur les joueurs bruxellois lors du match en déplacement contre le RWDM. La date du huis clos a été fixée au 1er avril (contre le Club NXT). Le club ne décolère pas...

De Tagtik

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Le Lierse proteste contre cette sanction car le parquet fédéral avait initialement demandé un match à huis clos mais avec sursis. Or, la commission de discipline a infligé au club une sanction effective. "Avec ses supporters, le Lierse a déjà investi beaucoup d'efforts, de temps et d'argent dans la sécurité dans et autour du stade. Des améliorations sont perceptibles et c'est positif. Malheureusement, la commission de discipline a jugé nécessaire, sur base du passé, de se montrer excessive dans son intervention", explique le club dans un communiqué officiel.

"Lors du match concerné, contre le RWDM, un feu de Bengale a été allumé et éteint dans les tribunes", poursuit le club. "L'auteur des faits n'a pas pu être identifié. Tous les supporters ont été fouillés par la police et nos propres stadiers. Le clubne pouvait pas faire plus, surtout en déplacement. Notre club continuera à travailler sur la sécurité dans et autour du stade."

Mais le Lierse demande également, en des termes peu équivoques, que la Pro League et l'Union Belge fassent leur autocritique. "Nous continuerons également à demander à la Pro League son avis sur cette décision de l'Union belge, mais pour nous, il est clair qu'il n'y a pas que le VAR qui doit changer."

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