Cinq faits insolites sur la vraie reine Charlotte

Séries | Prequel de ‘La Chronique des Bridgerton’ se concentrant sur la jeunesse et l'arrivée au pouvoir de la reine Charlotte, la série ‘Queen Charlotte: A Bridgerton Story’ débarque sur Netflix ce jeudi 4 mai. L’occasion parfaite d’en apprendre un peu plus sur l’ancienne souveraine.

De Pickx

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(Peut-être) la première reine britannique de couleur

Les historiens ne parviennent pas à s’accorder mais certains penseurs ont émis l’hypothèse que Charlotte était allemande de naissance mais descendrait d’une famille portugaise ayant des ancêtres africains. L’homme politique Christian Friedrich von Stockmar la décrit comme "mulâtre" alors que sur les portraits que l’on peut retrouver de la reine, elle apparaît tellement livide qu’elle n’a pas l’air naturelle. Peut-être était-elle trop maquillée pour camoufler son teint ou peut-être les peintres avaient-ils l'ordre de modifier la réalité...

Elle a eu 15 enfants

Du haut de ses 17 ans, la monarque était promise au jeune souverain du Royaume-Uni sans l’avoir jamais vu. En 1760, George III a 21 ans lorsqu’il monte sur le trône et doit de toute urgence épouser une gente dame. Un an plus tard, Charlotte, la fille du duc Charles Ier de Mecklembourg-Strelitz, doit quitter son Saint-Empire natal pour rencontrer son futur époux. Après un voyage agité en bateau, elle arrive malade sur le sol britannique.

Huit heures après avoir rencontré le roi, ils étaient déjà mari et femme dans la Chapelle royale du Palais Saint James. Malgré ce mariage à la hâte et qui a débuté sans amour, il a été l’un des plus heureux. Ils n'eurent pas moins de quinze enfants ensemble, avant que leur vie paisible ne tourne au cauchemar à cause de la maladie de George III.

Gaga de chiens

Les Corgis n’ont pas toujours été les seuls chiens de la cour britannique. Avant Élizabeth II et sa passion pour ces toutous courts sur pattes, la souveraine Charlotte est arrivée en Angleterre avec ses deux Loulous de Poméranie, Phoebe et Mercury, qui la suivaient partout dans le palais. Pendant tout son règne, la reine consort a eu des chiens. Elle a d’ailleurs transmis son attachement à cette race à plusieurs générations puisque sa petite-fille la reine Victoria ne quittait jamais non plus son Loulou de Poméranie.

Dépendante au tabac

Dans ‘La Chronique des Bridgerton’, on voit régulièrement la reine renifler une substance. Mais était-elle toxicomane ? La souveraine n'a pas reçu le surnom de ‘Charlotte la renifleuse’ pour rien. Sa dépendance au tabac sous forme de poudre à inhaler par le nez lui a valu ce sobriquet peu flatteur. Souvent "aromatisé", le tabac donne à ses utilisateurs une dose concentrée de nicotine rapide. La reine avait un penchant pour un mélange appelé Violet Strasbourg (amandes amères, ambre gris et attarju), également apprécié par Martha, la femme de George Washington. Jusqu’à son décès en 1818, Son Altesse Charlotte avait acquis près de 100 tabatières.

Férue de musique et de… kangourous

Charlotte adorait la musique et avait engagé Johann Christian Bach, le fils du légendaire compositeur, comme professeur de musique. Elle invitait Mozart, encore enfant, à se produire devant elle, et jouait souvent en duo avec son mari à la flûte et au clavecin. Pendant ce temps, elle s'intéresse de près au naturalisme, répertoriant les plantes et fondant une ménagerie qui abrita les premiers kangourous sur le sol britannique.

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