Alec Golard se livre sur son aventure: "The Voice te permet de bosser dans un environnement hyper pro !"

Cinéma | Plongé dans le monde musical depuis son plus jeune âge, Alec Golard fait aujourd’hui partie des seize derniers candidats de The Voice encore en lice et peut prétendre à la victoire finale. Pour Proximus Pickx, il revient sur son parcours et sur les raisons qui l’ont poussé à tenter sa chance dans l’émission.

De Pickx

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Bonjour Alec, avec ta participation avec The Voice, tu te lances dans ta première expérience solo à grande envergure. Qu’est-ce qui t’a donné envie de sauter le pas ?

Alec Golard: "Bonjour, en fait j’avais déjà voulu tenter l’expérience quand j’avais seize ans, mais finalement j’avais fait le choix de ne pas aller jusqu’aux auditions à l’aveugle. Entretemps, j’ai évidemment continué à chanter et puis est arrivé le Covid-19 qui a tout rendu compliqué, notamment le fait de pouvoir rebondir artistiquement parlant. À mes yeux, The Voice est une bonne opportunité et reste un tremplin incroyable pour les artistes.

Je ne sais pas si cela se ressent quand on est devant sa télévision, mais cette émission est l’occasion rêvée d’apprendre énormément, de prendre des conseils ou encore de rencontrer des gens qui vont te permettre de t’améliorer."


Cette mise en conditions réelles fait la force de The Voice pour toi ?

A. G.: "Je pense que cette émission est vraiment novatrice par rapport à tout ce que j’ai déjà pu faire dans ma vie en musique. The Voice te permet de travailler dans le milieu professionnel, on peut le voir rien qu’avec les musiciens !

Tu vas rentrer dans un monde où tout est acquis, entre guillemets, au niveau de la scène ou du show, car on nous met dans des conditions rêvées. Cela te donne la possibilité de te faire une idée sur la façon dont tu veux travailler. Donc le gros point fort de l’émission pour moi c’est qu’elle va te professionnaliser."


Chaque année, on voit des candidats aux profils fort différents. Tu penses que c’est la preuve que l’émission peut apporter un petit quelque chose à tous ?

A.G.: "Pour moi, The Voice c’est un booster. On peut le voir de plein de manières différentes, mais je pense que l’émission permet d’être soi-même. Que tu ailles loin ou pas, que tu débutes dans la musique ou que tu chantes depuis des années, je suis persuadé qu’il y a toujours quelque chose à apprendre avec une expérience pareille. Dans mon cas, je n’ai pas l’habitude d’un milieu professionnel, du coup je prends tout ce que je peux."


Tu parlais un peu plus tôt du Covid-19, c’est justement une période durant laquelle on a vu des chanteuses et chanteurs publier des vidéos sur les réseaux sociaux. Cela a aussi été ton cas ?

A. G.: "En effet, durant le confinement, j’ai posté plusieurs chansons parce que j’avais envie de donner de la joie autour de moi et de faire plaisir. Mais en plus de cela, c’était aussi l’occasion de m’expanser sur les réseaux, ce que je n’avais jamais fait avant.

Comme pas mal de monde aujourd’hui, je suis présent sur les réseaux sociaux, mais je n’y suis pas fort actif ! Quand j’ai commencé à poster ces vidéos, cela m’a décomplexé. Depuis, je n’ai plus de problème à en publier. Avant, je ne le faisais pas beaucoup, car l’avis des gens me stressait un peu."


Revenons-en à ton parcours dans cette dixième saison. Lors de ton audition, où tu as interprété le titre Indigo Night, trois coachs se retournent (BJ Scott, Typh Barrow et Christophe Willem) ! Comment on fait son choix entre ces artistes ?

A. G.: "Je mentirais en disant que c’est facile ! Mais avant de venir dans l’émission, je m’étais dit que si j’avais le choix entre les quatre membres du jury, je choisirai BJ Scott.

D’un côté elle a beaucoup d’expérience et de l’autre, j’aime énormément son état d’esprit ainsi que l’humanité qu’elle dégage. Je ne regrette évidemment pas mon choix.




Quelle est l’ambiance avec les autres candidats ? En connaissais-tu avant d’arriver ?

A. G.: "Franchement, tous les autres talents sont géniaux, on s’entend vraiment bien ! C’est cool parce que cette bonne ambiance te permet de vivre l’aventure avec des gens que tu apprécies. Donc tu en profites à fond et c’est que du bonheur en permanence.
Enola (ndlr : de l’équipe de Christophe Willem), Zélia et Diana (ndlr : de l’équipe de Typh Barrow) sont dans la même école que moi, à l’IMEP de Namur. Avec Enola on est d’ailleurs d’assez bons amis et on savait que l’autre allait participer à The Voice. Mais ce n’est pas une décision qu’on a prise ensemble.

Sinon le courant est vraiment bien passé avec Oan, mais il a malheureusement quitté l’aventure mardi dernier."


Tu fais partie désormais des seize candidats encore en lice après avoir été choisi par BJ Scott lors de ton K.O. puis de ton Live, tu penses à la victoire finale ?

A. G.: "Je ne suis pas arrivé en me disant que je voulais gagner. Ma principale envie était de voir jusqu’où je pouvais aller. L’objectif premier de mon aventure n’était pas le gain final, même si on ne peut pas nier que la possibilité de signer un contrat avec Universal music pour enregistrer un album n’arrive pas tous les jours !

Via cette expérience, j’avais le souhait d’apprendre à connaître les gens du milieu et voir ce qu’ils pouvaient m’apprendre. Que j’aille jusqu’au bout ou non, mon rêve reste de me lancer en tant qu’artiste dans la musique et d’y faire carrière."

Retrouvez Alec demain à 20h30 dans le prochain Live de 'The Voice Belgique' sur La Une, sur Pickx.be ou l'app de Proximus Pickx. Via TV Replay, vous pouvez regarder le programme jusqu'à 36 heures plus tard quand vous le souhaitez !

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