Pourquoi S.O.S Fantômes est toujours aussi populaire

Le premier d’un nouveau genre

Sur base de sa propre fascination du surnaturel, Dan Aykroyd écrit en 1984 le scénario d’un film qui deviendra un classique. Avec Bill Murray (Dr Peter Venkman), Dan Aykroyd (Dr Raymond "Ray" Stantz) et Harold Ramis (Dr Egon Spengler), le réalisateur Ivan Reitman crée un trio de génie. La comédie contient aussi son lot d’effets spéciaux. Comment ne pas citer l’emblématique Bibendum Chamallow, ou encore l’iconique combat avec le méchant Gozer à la fin du film? C’est ainsi que "S.O.S. Fantômes" est devenu un pionnier pour de nombreuses comédies de science-fiction à suivre. 

Un mix d’influences

"S.O.S. Fantômes" est bien plus qu’une comédie avec quelques effets spéciaux. Ce classique se situe en fait à mi-chemin entre la comédie, l’horreur, la science-fiction, tout en restant grand public. Il s’adresse en effet aux familles et notamment aux enfants, pour dissiper la peur des fantômes une fois pour toutes. Il n’est pas surprenant que le film devienne l’un des premiers blockbusters. La distribution n’y est pas pour rien non plus avec, outre les Murray, Aykroyd et Ramis, Sigourney Weaver et Ernie Hudson. 

Une bande son et un logo iconiques

"Who you gonna call ? Ghostbusters !" Celui qui ne connait pas cette punchline a du vivre dans une grotte ces 36 dernières années. La bande son du film est rapidement devenue un grand classique, avec ses synthétiseurs et ses sons dignes d’extraterrestres. Malgré un procès pour plagiat, le tube de Ray Parker Jr reste incontournable. Niveau visuel aussi, des éléments du film restent dans les esprits. C’est le cas du logo "no-ghost", connu à travers le monde, ou encore de l’Ecto-1, l’ambulance Cadillac de 1959 qui servait de moyen de transports aux chasseurs de fantômes. 

Ce film culte est disponible sur Netflix pour un petit moment nostalgie.