Elia Rose sort son premier album ‘I Love It’ : « Cet album c’est une palette de ma personnalité »

Musique |

Elia Rose vient de sortir son premier album tant attendu : ‘I Love It’. La Tournaisienne propose dix titres à l’image de sa personnalité, hauts en couleur et surprenants, qui vous feront vivre les montagnes russes émotionnelles. Pour l’occasion, Pickx a rencontré l’autrice-compositrice et interprète belge et ça se lit juste ici !

De Pickx

Partager cet article

Bonjour Elia Rose, peux-tu te présenter ?

Elia Rose : « Bonjour, moi c’est Elia Rose, je suis autrice-compositrice et interprète. Je présente de la musique pop assez joyeuse, aux sonorités fluos et aux synthés qui brillent. De manière générale, je propose une musique très entrainante destinée à faire la fête ! Je compose souvent mes morceaux en pensant aux lives car c’est sur scène où je me sens le mieux. »

Ta musique ne rentre pas vraiment dans une case, comment décrirais-tu ton univers ?

E.
R. : « C’est vrai que c’est un projet qui est dur à mettre dans des cases. Je dirais simplement que je fais de la musique spontanée, qui peut aller dans tous les sens et qui touche à tout : des chansons sentimentales, une ambiance très années 80’, des titres plus pop. Le fil rouge de mon univers ce sont mes mélodies un peu naïves et un texte qui parle de l’autodérision. Je suis fière de ne pas rentrer dans des cases car la musique devient de plus en plus homogène et j’essaye justement d’échapper aux conventions et de ne pas ressembler à tout ce qui se fait. Je veux simplement faire quelque chose qui me ressemble.»

Tu viens de sortir ton premier album, ‘I Love It’, une belle réussite. À quoi le public peut s’attendre avec ces dix nouveaux titres ?

E.R. :
« L’album c’est un peu la consécration de toutes ces années de travail qu’on donne en une fois. Faire un album, c’est compliqué. J’ai enchainé les singles et pour faire un album il faut une certaine uniformité donc c’est un travail intense. La sortie est intense aussi. En tout cas, cet album était très attendu. Et par moi et par le public. Je suis très contente de l’accueil qu’il a déjà reçu.

En ce qui concerne l’album en lui-même, je dis toujours qu’avec moi il ne faut s’attendre à rien car je vais toujours là où on ne m’attend pas. Mon public me suit car il est très ouvert. Il aime être surpris et moi j’aime beaucoup surprendre. Je n’aime pas trouver de recette et la recopier. Dans cet album, on peut donc s’attendre à tout dans tous les sens du terme (rires).

Cet album c’est une palette de moi-même, il y a toutes les facettes de ma personnalité. J’aborde beaucoup de sujets qui n’ont rien avoir les uns avec les autres. Il y a des morceaux très « feel good », écrits pour faire la fête et s’éclater comme ‘Gin and Tonic’ par exemple, qui est une chanson très décalée. ‘Where I Belong’ est un titre très introspectif. C’est une ballade dans laquelle je parle d’à quel point il est agréable de savoir où est sa place. Et pour ma part, c’est la musique. Il y a aussi une chanson très « hot », ‘Sex on the Beach’, que j’ai écrite en réfléchissant à comment j’avais envie de faire l’amour. J’ai écrit un morceau très court mais intense, ‘Catherine’, en hommage à mon attachée presse qui nous a malheureusement quittée il y a peu. Le single ‘Criminal’ aussi est assez décalé. Si on n’a pas vu le clip, on ne comprend pas le sens du texte mais j’y parle de crime culinaire. J’ai un papa italien et une maman anglaise et dans ma famille, la bouffe c’est sacré. Et mon premier petit ami était du genre à mettre du ketchup dans ses pâtes... ‘I Love It’ c’est un album très varié qui reflète vraiment la palette de ma personnalité et c’est une volonté assumée ! »

Tu es autrice-compositrice et interprète... Où puises-tu ton inspiration pour tes textes ?

E.
R. : « Ça part souvent d’une simple idée ou d’une phrase anodine, surtout si elle me fait rire. Avec ‘Tokyo’ par exemple, on peut croire que c’est un morceau sérieux mais en écoutant le texte, c’est en fait très drôle car ça part d’une phrase délire dans laquelle je me demandais si j’étais une star au Japon. Je rêve de visiter ce pays et j’en ai simplement fait une chanson. Je compose souvent d’abord la musique, ensuite je fais du yaourt dessus et puis des paroles me viennent.»

Tu as appelé cet album ‘I Love It’, ton précédent EP s’intitulait ‘Love Is All I Need’, l’amour pour toi c’est quoi ? Ça semble être un vrai sujet en tout cas…

E.R. :
« Le « love » est véritablement au centre de ma vie, c’est vrai. J’aime donner de l’amour et en recevoir et ce, de toutes les manières. Quand je parle de love ce n’est pas nécessairement de l’amour romantique. C’est dans le sens que j’aime la vie et que j’aime beaucoup de choses dans celle-ci. Je trouve qu’‘I Love It’ ça collait bien car j’aime les gens, la musique, les concerts, la vie. Je cherchais un titre qui me décrivait et qui décrivait aussi à quel point j’ai aimé faire l’album et ‘I Love It’ ça matchait bien. Ca donnait aussi le ton pour la suite.»

Cet album signe aussi une nouvelle tournée, avec notamment plusieurs belles dates sur de gros festivals belges cet été, c’est quoi ton rapport à la scène ?

E.R. :
« Je fais de la musique pour pouvoir faire de la scène justement. C’est mon premier but ! La scène ça me fait trop kiffer. J fais ça depuis très jeune, j’ai donc pas mal d’expérience, je me sens de plus en plus à l’aise et c’est justement sur scène que ma musique prend tout son sens.

Je suis déjà très heureuse qu’on écoute ma musique sur les plateformes mais elle se vit intensément en live. J’ai des musiciens extraordinaires avec moi, donc venir nous écouter sur scène c’est le top de notre travail. Dans ma personnalité, je suis quelqu’un de très dynamique et enthousiaste. Je donne tout ce que j’ai sur scène, j’ai un bon rapport avec le public et ce que j’adore voir ce sont les gens repartir avec le smile.Il n’y a rien qui puisse me rendre plus heureuse que ça !

Je n’ai pas encore eu l’occasion de faire beaucoup de festivals, c’est une autre ambiance et il faut attirer un public qui n’est pas spécialement venu pour toi donc ce sera un vrai challenge. Mais c’est tout ce que j’aime donc ça ne me fait pas peur ! »

Du coup, tu proposes une autre version de ton album en live ?

E.
R. : « Évidemment ! Je déteste les copier/coller comme je le disais, donc bien sûr je propose une nouvelle version en live. J’estime que les gens qui prennent une place pour venir me voir doivent en prendre plein les oreilles et vivre une nouvelle expérience. Une tournée c’est des mois de travail pour faire des nouveaux arrangements, pour préparer le show, car on propose des choses tellement différentes de ce qu’on peut écouter en stream. En concert, il se passe des vraies choses. Je repense à mon concert le 4 mars dernier au Botanique. Les gens dans la salle étaient chauds à mort au point que la salle vibrait. On a ri, on a pleuré, on a chanté et dansé. J’ai carrément fait monter les gens sur scène dans l’euphorie, c’était complètement ouf et très intense. Je m’en souviendrai toute ma vie !»

Quels sont tes prochains projets ?

E.
R. : « Je vais d’abord essayer de profiter de chaque concert et de chaque moment. J’ai des compos qui sont bien au chaud, prêtes à éclore, mais je vais d’abord savourer ce premier album. Je vois la vie en grand donc j’espère avoir beaucoup d’autres concerts à venir l’année prochaine. Tout ce que je peux dire c’est que je ne me reposerai pas en tout cas, des choses arrivent !»

Que peut-on te souhaiter Elia Rose ?

E.
R. : « Pour ma carrière, ça part dans la bonne direction j’ai l’impression donc que ça continue ! J’ai déjà la plus belle chose que je puisse espérer : un public de qualité ! Un public aussi enthousiaste que moi, à qui je tiens énormément. Je pense même que je suis plus fan d’eux, qu’eux de moi, et je les remercie de tout mon cœur pour ce soutien sans faille et tout cet amour.»

À lire aussi :

Écouter l’album d’Elia Rose ‘I Love It’ ici :

 

Retrouvez Elia Rose cet été sur les scènes du Sunset Festival de Mons (15/07), des Francofolies de Spa (23/07), du Ronquières Festival (05/08) et des Solidarités de Namur (27/08).

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

Découvrez Pickx Se connecter

Top

Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

Top