Pour Yaremchuk, c’est le moment de performer face à son ancien club de Benfica avec le Club de Bruges

Sports | Recrue phare du dernier mercato estival, Roman Yaremchuk a été arraché à Benfica par le Club de Bruges contre 16 millions d’euros. Mais l’Ukrainien n’a pas encore réellement montré pourquoi il avait coûté si cher. C’est le moment de se réveiller, contre son ancien employeur.

De Pickx

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Avec 9 buts en 48 matchs, Roman Yaremchuk n’avait pas vraiment convaincu lors de son passage au Portugal, à Benfica. Raison pour laquelle les Lisboètes n’ont pas bloqué le départ de l’Ukrainien qu’ils avaient acheté à Gand contre 17 millions. C’est le Club de Bruges qui s’est offert les services de l’attaquant, faisant de lui le transfert entrant le plus cher de l’histoire de la Jupiler Pro League. Mais jusqu’à présent, l’ancien Buffalo n’a convaincu personne et son transfert s’apparente à un bel échec.

A La Gantoise, Yaremchuk tournait quasiment à une moyenne de 1 but tous les 2 matchs puisqu’il avait inscrit 61 buts en 152 matchs. A Bruges, pour le moment, il n’a planté que 2 petits buts en 18 matchs pour un temps de jeu de 773 minutes. La dernière fois que l’Ukrainien a fait trembler les filets, c’était le 19 octobre. Il est temps de se réveiller.

Le renouveau grâce à Parker ?

S’il avait marqué pour ses débuts, Roman Yaremchuk avait dû faire face à la concurrence de l’Espagnol Ferran Jutglà, lequel marquait comme il respirait en début de saison. Ne parvenant pas à faire cohabiter les deux attaquants sur la pelouse, Carl Hoefkens avait déplacé son Ukrainien… sur le banc. Mais depuis le changement de coach et l’arrivée de Scott Parker, les choses changent un peu.

L’Anglais a refait de Yaremchuk un titulaire, cherchant à lui redonner confiance mais aussi à trouver la bonne formule alors que sous sa houlette Bruges peine à faire des résultats. Pour l’ancien de Benfica, les conditions ne sont pas idéales mais Parker semble tout de même croire plus en lui que ne le faisait Hoefkens.

Concurrence interne

Le problème pour Yaremchuk, c’est qu’il doit faire face à une forte concurrence en interne et le retour en forme de Noa Lang pourrait bien lui être préjudiciable. "Noa apporte une dynamique différente de celle de nos autres attaquants à ce poste et il s'est très bien débrouillé, donc nous pourrions le voir plus souvent à ce poste", a récemment expliqué Scott Parker.

Pour l’Ukrainien, il est donc grand temps de se montrer performant s’il ne veut pas se retrouver à nouveau cantonné au banc pour une longue période. Quoi de mieux que le match aller des huitièmes de finale contre Benfica, son ancienne équipe, pour se mettre en évidence ? Il n’est pas certain qu’il sera titulaire, mais il devra dans tous les cas exploiter au maximum le temps de jeu qui lui sera offert. Sinon, les supporters risquent à nouveau de se lâcher.

Le programme des huitièmes de finale de Ligue des champions en février sur Pickx+ Sports :

Mardi 14 février

Mercredi 15 février

Mardi 21 février

Mercredi 22 février

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