Catherine Davydzenka alias Hortense dans ‘Ici tout commence’ : « J’aimerais beaucoup travailler avec Lukas Dhont »
Depuis deux ans, Catherine Davydzenka illumine nos écrans de télévision dans ‘Ici tout commence’. Dans cette série diffusée du lundi au vendredi sur la RTBF et sur TF1, elle incarne Hortense Rochemont, jeune fille enjouée à la spontanéité débordante, avec ce grain de fantaisie et de folie qui la rend si sympathique et attachante. Rencontre avec une actrice aux multiples talents.
De Pickx

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Bonjour Catherine Davydzenka. Cela fait deux ans que vous incarnez la très spontanée Hortense Rochemont dans la série ‘Ici tout commence’. Un personnage solaire, positif en même temps qu’un peu naïf. Elle a la voix haut perchée et remue souvent son nez, un peu comme le faisait Elizabeth Montgomery dans ‘Ma Sorcière bien-aimée’. Pourtant, votre voix est plutôt grave et vous semblez loin de ce personnage de composition. Comment est née Hortense ?
Catherine Davydzenka : « Hortense est un mix de beaucoup de choses. J’avais reçu peu d’indications sur elle, juste 'Jeune fille solaire, très ouverte et sans filtre'. J’ai donc fait un travail de composition. J’ai cherché dans la comédie, dans le burlesque aussi. J’ai regardé des interviews d’actrices et d’acteurs américains expérimentés. Beaucoup disent que pour rendre un personnage réaliste, vivant, il faut qu’il ait autant de facettes que peut en avoir un être humain. En fait, plus il y a de contradictions, plus c’est réaliste et plus c’est proche de la vraie nature des gens. Pour la voix, je me suis surtout inspirée des DC Comics que j’adore. J’ai remarqué que les personnages ont souvent une petite voix très aigüe. Pour les tics d’Hortense, ses reniflements, je les ai imaginés comme la manifestation physique d’un stress. Petit à petit, s’est donc créé un assemblage de plein de choses, des facettes de moi et de ce que j’aime, que j’ai mises dans ce personnage. J’ai donc pioché dans les références que j’avais pour donner naissance à Hortense qui est devenue, je crois, une jeune femme assez crédible ».
ITC est le premier gros projet auquel vous participez. Comment se sont passés les premiers jours de tournage avec les jeunes comédiens qui débutaient pour la plupart et les quelques acteurs plus expérimentés avec lesquels vous travaillez ?
C.D. : « C’était très particulier parce que nous avions la chance de participer à la genèse de quelque chose et nous ne savions pas ce que ça allait donner. Nous étions là juste par amour du jeu, pour créer quelque chose de nouveau. Nous étions tous un peu dans le même bateau et nous formions donc une vraie petite famille. Je pense que nous avons vécu une expérience unique, un moment un peu magique. Nous regardions les ‘grands’ jouer devant nous et c’était beau de pouvoir donner la réplique à Francis Huster, Frédéric Diefenthal, Catherine Marchal, Elsa Lunghini ou Vanessa Demouy. Nous étions tous très assidus. Il y avait une véritable cohésion, renforcée par le fait que nous étions en plein confinement, covid oblige. Les restos étaient fermés et les possibilités de sorties restreintes. Nous habitions alors tous ensemble, comme dans une résidence d’artistes. L’un faisait répéter l’autre pendant qu’un troisième préparait le repas pour tous. C’est une expérience dont nous nous souviendrons tous ».

Avez-vous toujours voulu être comédienne ?
C.D. : « Oui, depuis que je suis toute petite, j’ai toujours voulu faire ça. Mes parents ne sont pas de ce milieu. Au début, pour eux, c’était donc des rêves de gamine, puis d’ado. Mais ces rêves ne m’ont jamais quittée. C’est donc devenu mon métier. J’ai commencé très tôt par faire de la comédie musicale. Ensuite, j’ai fait du théâtre pendant dix ans. Je suivais des cours d’art dramatique avec un prof particulier. Jouer, c’est quelque chose que j’ai toujours eu en moi, quelque chose sans quoi je ne peux pas vivre. C’est une vraie respiration, une nécessité. Pour moi, jouer, c’est un besoin vital ».
Comment vous est venue cette passion ?
C.D. : « Je ne sais pas, ça a toujours été là, en moi, comme une évidence. Petite, je regardais des films à la télé et, déjà, je savais ce que je voulais : raconter des histoires. Dès l’instant où j’ai compris que les images que je voyais pouvaient me faire rire ou pleurer, j’ai eu envie de faire ça pour les autres. À cinq ans déjà, je montais des petites pièces avec des décors en carton, je racontais des histoires à mes parents et j’observais leurs réactions. Je me souviens aussi que très tôt mon père a joué beaucoup avec moi. Nous faisions des sortes de cabanes un peu partout dans la maison et il animait toutes mes poupées, il leur donnait des noms et me disait ‘choisis qui tu veux être aujourd’hui’. Je pouvais donc être un pirate, une princesse, une sirène et toute l’histoire en découlait. Cela a pu développer mon imaginaire. Je pense que, quelque part, je suis une enfant qui n’a jamais arrêté de jouer. Je veux faire rire, faire pleurer, émouvoir les gens, j’ai besoin de ça ».
Quel a été votre parcours avant de décrocher le rôle d’Hortense ?
C.D. : « À 11 ans, j’ai supplié mes parents de m’inscrire à un stage de cinéma pour enfants. Un des organisateurs, Matthieu Gautier, professeur d’art du cinéma, m’a retenue pour un court-métrage qui s’intitulait ‘N° 7’. À partir de là, il m’a fait beaucoup travailler. J’avais douze ans et il m’apprenait déjà à jouer avec la caméra, à trouver mes angles, à décortiquer des textes, à voir comment se crée un personnage. Tout le travail que je fais aujourd’hui m’est devenu naturel, instinctif parce que je l’ai appris très tôt. Après le lycée, j’ai entamé des études de médecine. J’adorais apprendre comment fonctionne le corps humain. Mais ce n’est pas le métier que je voulais faire. Ce n’est pas ce pourquoi je vibrais. Donc parallèlement à ces études en médecine, j’ai fait un CAP de cuisine. Cela a pris sens maintenant puisque ça me sert sur ITC. En parallèle, je cherchais des castings avec beaucoup d’obstination. Chaque matin, je me levais tôt pour écumer les castings avant d’aller en cours. J’envoyais des dossiers et une bande démo gravée sur DVD à tous les directeurs de castings et à tous les agents de Paris. J’ai fait ça pendant des mois. Jusqu’à ce que j’obtienne mon premier casting pour le film ‘Mon bébé’ de Lisa Azuelos. C’est le premier rôle que j’ai eu au cinéma. J’ai ensuite participé à un épisode de la dernière saison de la série ‘Le Bureau des légendes’. J’y jouais en anglais avec un accent russe. C’était assez impressionnant pour moi parce que sur le projet, il y avait des pointures telles que Mathieu Kassovitz et Jacques Audiard. Vivre cela quand on débute, ça fait des souvenirs magiques. Ensuite, il y a eu ITC ».

Dans la série, on a vu Hortense victime d’un Sugar Daddy ou souffrant de crises de boulimie. Pensez-vous qu’en tant qu’actrice vous pouvez contribuer à conscientiser les gens à diverses problématiques et, ainsi, être porteuse d’une mission ?
C.D. : « Personnellement, je ne me sens pas investie d’une mission. Par contre, c’est vrai que le travail des acteurs, c’est aussi de véhiculer des messages. Et dès l’instant où on me donne une problématique à défendre, je le fais avec réflexion et avec toutes les précautions possibles. Parce que nous, les acteurs, pouvons avoir un impact énorme sur les suites psychologiques que nous imprimons chez certains, les enfants et les jeunes en particulier. En ce qui concerne la boulimie, je me suis donc imposé un régime sévère sans le dire à la production. Je l’ai fait de ma propre initiative, tout en me faisant accompagner. Parce que j’allais devoir tourner une scène en sous-vêtements devant un miroir où Hortense est censée se trouver grosse alors qu’elle n’a que la peau sur les os. Je suis naturellement mince et je ne voulais pas que, me voyant dans cette scène, des adolescentes de onze ou douze ans se disent ‘Waouh, elle se fait vomir et elle est très mince et très jolie, c’est beau d’avoir un ventre plat’. J’ai donc perdu sept kilos pour montrer qu’en réalité ce n’est pas joli de voir saillir les os, que c’est loin d’être glamour. Tout ça pour dire que j’estime qu’en tant qu’actrice, je me sens responsable, porteuse de messages. Mais je ne me considère pas investie d’une mission, je ne suis pas un messie, je ne vais pas sauver le monde ».
Prenez-vous toujours autant de plaisir à incarner Hortense ?
C.D. : « Oui parce que c’est mon bébé. Je m’y sens vraiment à l’aise. C’est un défi permanent parce qu’il faut essayer de se renouveler chaque jour pour surprendre encore un peu le public, ne pas réagir exactement comme il pourrait s’y attendre. Par exemple, lors de l’arrivée de Vic, ma sœur de fiction, j’ai donné à Hortense un côté un peu plus ferme, plus ancré. J’ai reçu à ce sujet de bons retours de personnes qui ne s’attendaient pas à ce qu’Hortense se montre aussi digne. Ça m’a ainsi permis d’ajouter une nouvelle facette au personnage. J’ai donc toujours autant de plaisir à jouer. Après, on verra pour la suite ».
Parallèlement à l’acting, vous exercez également d’autres formes d’art : vous peignez, vous écrivez, vous chantez,… Pourriez-vous nous en dire plus ? Et avez-vous des projets en développement dans ces domaines ?
C.D. : « En peinture, je travaille actuellement sur ‘La rosace des émotions’, issue des recherches d’un psychologue américain. J’essaye de comprendre comment je fais dans mon travail pour passer de la colère, à la joie, à la tristesse, à la songerie. J’ai donc commencé à travailler sur cette rosace que je retranscris sous forme de triptyques. Ainsi, sur un triptyque seront représentées la rage, la colère et la contrariété. Je vais suivre les couleurs de la rosace, c’est la seule contrainte que je me suis imposée. Ce qui veut dire que les couleurs prédominantes de chacun de mes tableaux suivent celles de la rosace. Ça représente pas mal de boulot parce qu’il y a beaucoup de tableaux mais j’ai presque terminé. Donc prochainement, je vais exposer mon travail ».

Vous avez aussi écrit un recueil de poésie. Sur quoi porte-t-il ?
C.D. : « Ce livre est une étude philosophique et sociale des relations humaines, adaptée sous la forme d’un recueil de poèmes. J’ai écrit ce recueil pendant le confinement. Je ne pensais pas le publier. Mais certaines personnes m’ont lue et m’ont suggéré de le faire. Je me suis donc dit ‘pourquoi pas ?’. J’écris en sonnets et rondeaux qui ont, pour la plupart, un sens caché. Il y a en fait plusieurs lectures possibles, les gens peuvent simplement y lire quelque chose de joli ou se creuser la tête, s’ils en ont envie. Mais mon côté perfectionniste s’est réveillé et j’ai commencé à y apporter des corrections. Et je me suis rendu compte qu’au niveau de la métrique, il fallait que je recommence certains sonnets. Pour l’instant, j’ai donc mis ça de côté. Ce sera pour l’année prochaine parce qu’il faut d’abord que je termine mes tableaux tout en tournant pour ITC, ce qui fait déjà beaucoup ».
Et côté chant ?
C.D. : « J’ai quatre titres qui sont prêts mais sans ligne directrice précise, parce qu’il y a plein d’univers musicaux qui me plaisent. J’aime beaucoup de genres différents. J’aime écrire, donc le slam me plaît forcément mais ce n’est pas ma prédilection. C’est juste que j’adore mettre des mots sur la musique. Ce que je préfère, c’est la soul, le jazz et tout ce qui est un peu groovy. J’aime aussi la variété française. Mais je veux d’abord finir mes projets de peinture et d’écriture avant de m’atteler vraiment à la musique. En attendant, petit à petit, je vais sortir des compositions personnelles. La première, intitulée 'Insomnie', est sortie le 16 décembre. Et son clip suivra. Je prépare aussi des reprises sympas et, peut-être, quelques concerts à partir de début 2023 avec ‘Les acteurs en concert’ ».
Que pensez-vous du cinéma belge ? Et avez-vous d’autres projets dans l’acting ?
C.D. : « J’ai vu pas mal de films belges et j’aime beaucoup ce cinéma parce qu’il a une plus grande ouverture d’esprit et des façons différentes d’aborder les sujets. Je le trouve donc très enrichissant. J’aimerais beaucoup travailler avec Lukas Dhont. J’ai adoré ‘Les Intranquilles’, le film que Joachim Lafosse a fait avec Leïla Bekhti. J’ai apprécié aussi ‘Adoration’ de Fabrice Du Welz. Et j’aime également le travail de Raphaël Balboni, le réalisateur d’‘Une vie démente’. Je trouve ses plans très originaux parce qu’ils sont coupés un peu sec. En ce qui concerne mes projets, j’ai passé pas mal d’essais et je suis en attente de réponses. Pour l’instant, je n’en sais pas plus mais c’est toujours comme ça, c’est à la dernière minute qu’on apprend si on est retenu ».
Regardez ‘Ici tout commence’ tous les jours du lundi au vendredi à 17h20 sur La Une et à 18h30 sur TF1, sur Pickx.be ou l'app de Pickx.
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