Les grands récits de la Coupe du monde : Casillas fête son titre avec un baiser

Après avoir triomphé lors de l’Euro 2008, l’Espagne a étendu son règne sur le monde lors du Mondial disputé en Afrique du Sud en 2010. Entre les Iniesta, Villa ou encore Puyol, l’un des héros de ce titre est bien le gardien Iker Casillas. Et pourtant, pour la Roja, la compétition n’avait pas forcement débuté de la meilleure des manières. 

De la polémique...

En effet, en ouverture de la compétition, l’Espagne s’incline 1-0 face à la Suisse pour l’une des premières surprises de la compétition. Et après ce résultat est née une certaine polémique autour de la journaliste Sara Carbonero qui réalise alors les interviews en bord terrain des joueurs de la Roja. Elle est aussi la compagne du portier de la sélection.

Il n’en fallait pas plus pour que certains médias la voient comme un élément perturbateur. Pour certains, elle est même la cause de cette défaite initiale. "Je les déstabilise ? C’est un non-sens total", avait déclaré Carbonero à l’époque, elle qui se trouvait très proche de Casillas durant les matchs. Heureusement, la suite est plus réjouissante. 

au titre ! 

L’Honduras, le Chili, le Portugal, le Paraguay et l’Allemagne goûtent ensuite à la défaite face aux Espagnols qui rencontrent en finale les Pays-Bas. Durant cette partie, Casillas est décisif, remportant notamment un duel face à Robben, permettant à sa nation de rester dans la rencontre. Iniesta offrait ensuite le titre à l’Espagne en prolongation. C’est la joie du côté espagnol et le portier du Real Madrid à l’époque n’a pas pu retenir ses émotions.

En pleine interview d’après match, le portier a embrassé sa compagne, occupée à l’interroger. Gênée, la journaliste a alors rendu l’antenne, sous les applaudissements de ses collègues. "Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il m’embrasse. Je ne savais pas non plus que j’aurais toute cette attention sur moi. C’était ma première Coupe du monde et j’étais concentrée sur mon job", expliqua-t-elle plus tard au magazine Elle. Tout est bien qui finit bien pour le couple, et pour la Roja ! 

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