Il était une fois un Diable : Birger Maertens

Sports |

En cette année 2022, Proximus Pickx vous propose une nouvelle série consacrée aux Diables Rouges qui n’ont pas vraiment marqué l’Histoire. Internationaux le temps d’une poignée de sélections, ils figurent tout de même dans le grand livre de notre équipe nationale. Focus cette fois-ci sur Birger Maertens.

De Pickx

Partager cet article

45 minutes et puis c’est tout, c’est ainsi que l’on pourrait résumer la carrière internationale de Birger Maertens chez les Diables Rouges. Pour être honnête, Maertens a obtenu deux sélections mais n’a donc foulé la pelouse sous la vareuse nationale qu’à une seule reprise. Une récompense pour l’ancien joueur du Club de Bruges qui est venue saluer les bonnes prestations du défenseur dans son club. Retour sur la carrière du défenseur central. 

Pilier à Bruges

Birger Maertens, c’est ce que l’on appelle un enfant du Club de Bruges, le genre de joueurs que les supporters apprécient et défendront sans cesse. Natif de Bruges et formé au Club, il débarque dans le noyau professionnel lors de la saison 2001/2002. Il dispute presque 20 rencontres avant de devenir un cadre de l’équipe. 

Il se forge au Jan Breydel un sacré palmarès : deux titres de champion en 2003 et 2005, trois Coupes de Belgique et quatre Supercoupe. Maertens est l'un des principaux piliers de son club de cœur entre 2001 et 2008 et cela n’échappe pas au coach fédéral de l'époque, Aimé Anthuenis. 

Une mi-temps

Versée dans le groupe 7 lors des éliminatoires pour la Coupe du monde 2006, la Belgique n’a, en octobre 2005, plus rien à espérer. Dominés par la Serbie-et-Monténégro, l’Espagne et la Bosnie, les Diables terminent en roue libre. Laissé sur le banc lors de la défaite face à l’Espagne, Birger Maertens monte au jeu à la pause le 12 octobre 2005 lors du partage 1-1 en Lituanie en remplacement du buteur du jour côté belge, Karel Geraerts. En fin de partie, Olivier Deschacht rétablira la parité avec un but contre son camp. 

La carrière de Maertens se poursuit à Bruges mais, en 2007, il doit se faire opérer et à son retour, il ne récupère pas sa place, prise par Jeroen Simaeys. A l’été 2008, libre de tout contrat, il s’engage aux Pays-Bas, à Heracles avant, en 2012, de rejoindre Westerlo et de finir tranquillement sa carrière en passant par Westhoek, Bredene et enfin le Daring Bruges en 2017. 

Fan de notre série ? Retrouvez ici l'histoire de Tom Caluwé.

Sujets associés

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

Découvrez Pickx Se connecter

Top

Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

Top