Inéluctable, la faillite de Mouscron est actée

Sports | En panne de licence pour la D1B, refusée tant par la commission ad hoc que par le C-SAR en appel, Mouscron avait accumulé une telle dette que les derniers repreneurs envisagés,  un groupe d'investisseurs suisses, se sont retirés

De Tagtik

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Le conseil d’administration des Hurlus s'était accordé un délai de 15 jours afin d'explorer toutes les pistes depuis son 'renvoi" en D2 ACFF, mais le sauveur attendu ne s'est pas présenté. 13 ans après un épisode douloureux du même tonneau, les Hurlus connaissent une nouvelle banqueroute.

Qui aurait pris le risque de sauver un club de 4e division au niveau belge, criblé de dettes? Désormais, ce sont une trentaine de joueur, un staff sportif et administratif et des milliers de supporters hennuyers qui sont privés du Royal Excel Mouscron. Sans parler de la formation des jeunes et du Futurosport, un des viviers du football local.

Voici le communiqué officiel qui acte la disparition du club et sa mise en faillite.

"Lors du dernier Conseil d’Administration, accompagné de la ville et l’IEG, les membres du CA avait décidé de prendre un délai de réflexion supplémentaire pour tenter de trouver une solution aux problèmes rencontrés par le club. Un groupe de travail, composé de Pierre Huys, Guy Brutsaert, Benjamin Seillier et les avocats du club, avaient été chargés d’étudier les différentes pistes possibles.

Au terme de ce délai de deux semaines, et malgré de fortes réductions de charges envisageables aucune solution n’a été trouvée afin de financer une PRJ. Le Conseil d’Administration a donc décidé de faire aveu de faillite. C’est avec beaucoup de peine et de déception que nous avons dû nous résoudre à prendre cette décision."

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