Moins de plastique dans notre nature et dans notre corps, c'est l'objectif de "Mei Plasticvrij"

Cinéma | Le problème de l'environnement prend des formes diverses, ce qui appelle aussi des campagnes de sensibilisation diverses. L'une de ces campagnes est "Mei Plasticvrij", à laquelle participent un certain nombre de personnalités des médias. Proximus Pickx vous les présente.

De Pickx

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Quelque 8 millions de tonnes de plastique finissent chaque année dans nos océans, ce qui est non seulement nuisible pour l'environnement et les animaux, mais aussi pour nous, les êtres humains. Après tout, l'eau toxique finit par se retrouver dans notre corps. Voilà, en quelques mots, le problème que l'initiative citoyenne "Mei Plasticvrij" ("mai sans plastique") veut faire mieux connaître. L'idée, qui puise ses origines en Flandre, est d'agir, sans avoir à renoncer à une grande partie de notre confort bien ancré.

En utilisant simplement moins de plastique pendant un mois, nous pouvons avoir un impact. Demander un sac à provisions au lieu d'un sac en plastique à la caisse. Avoir sa propre bouteille de boisson recyclée au lieu d'en utiliser une nouvelle à chaque fois. Acheter moins de légumes ou de fruits préemballés. Et il existe de nombreux autres exemples de la manière dont nous pouvons tous influencer l'économie et la politique par notre comportement individuel, c'est du moins le message de cette initiative.

Dieter Coppens donne le bon exemple


Le visage le plus célèbre qui a contribué à mettre la campagne "Mai sans plastique" sous les projecteurs est probablement celui de Dieter Coppens. L'animateur télé flamand, très connu de l'autre côté de la frontière linguistique, a toujours montré sa fascination pour notre planète, sous toutes ses facettes. "Tout le monde sait maintenant que le plastique à usage unique est un pur déchet et que nous devons nous en débarrasser", insiste-t-il. "Grâce à des campagnes telles que "May Plastic Free", nous avons parcouru un tel chemin qu'il y a maintenant une prise de conscience que le plastique n'est pas bon pour notre planète... et donc pas pour nous non plus." Dieter Coppens lance un appel à l'action : "Si vous en avez assez du plastique et que vous souhaitez vous en débarrasser, faites-vous entendre ! Dites au magasin que cela vous dérange, écrivez un courriel au fabricant et faites-le savoir aux politiciens..... Avec le temps, le message passera et l'industrie de l'emballage devra chercher des alternatives. Et si les politiciens sont assez intelligents et commencent vraiment à penser à long terme, il faut espérer qu'ils mettront cela dans la législation."

Dieter Coppens fait lui-même des efforts pour réduire sa consommation de plastique depuis un certain temps. "J'emporte toujours un thermos avec moi, nous buvons l'eau du robinet à la maison, nous faisons notre propre granola et dans les magasins, nous utilisons nos sacs réutilisables. Aujourd'hui, nous mettons nos propres bocaux avec le sourire. Je sais qu'il y a beaucoup plus que vous pouvez faire, mais chaque petit geste compte, non ?"

Ambassadeurs

Une autre ambassadrice de "Mei Plasticvrij" est Hilde De Baerdemaeker, qui associe son nom à l'initiative pour la quatrième fois. L'expérimentée actrice flamande est très franche sur le thème. "Nous sommes tellement nonchalants avec le plastique", a-t-elle regretté. "Nous buvons de l'eau dans une bouteille en plastique, nous la jetons dans le sac PMC et nous pensons que c'est fini. Mais seule une partie est recyclée. Pourquoi acheter de l'eau en bouteille ? Ce besoin a été créé par la publicité. Il suffit de prendre une gourde et de la remplir d'eau du robinet. Vous pouvez acheter des pommes en vrac, et vous pouvez apporter vos propres boîtes au boucher, ou simplement, comme moi : mangez à base de plantes !".

Elle donne toutefois un autre conseil à ceux qui soupirent déjà devant de telles résolutions. "Prendre de petites mesures pour réduire les plastiques me rend vraiment heureux. Je pense que le fait de ne pas placer la barre trop haut est le seul moyen de la maintenir plus d'un mois." Outre Coppens et De Baerdemaeker, de nombreux autres Flamands engagés, connus ou moins connus, se sont investis dans cette initiative, comme les dessinateurs Chrostin et Iris Van Robays. En Wallonie, également, le message est tout aussi important et mérite d'être passé. Vous trouverez ici d'autres témoignages et des idées pour apporter votre propre contribution.

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