Les histoires surprenantes derrière certaines grandes oeuvres de musique classique

Musique | Aujourd'hui, Proximus Pickx vous propose de découvrir l’histoire de quelques-unes des plus célèbres oeuvres de musique classique. Si certaines sont liées à une anecdote insolite, d'autres ont connu un destin plus sombre…

De Pickx

Partager cet article

‘Les Préludes’ de Franz Liszt

Le compositeur hongrois Franz Liszt a écrit ‘Les Préludes’ au milieu du XIXe siècle sous la forme d'un "poème symphonique", c’est-à-dire un morceau de musique qui illustre un thème ou une histoire. La composition commence par un ensemble de cordes et de violoncelles pour se terminer par un final grandiose avec des instruments à vent et des percussions. Après la mort du compositeur, cependant, ‘Les Préludes’ ont acquis une réputation douteuse, notamment après que la machine de propagande nazie a utilisé le dernier mouvement de l'œuvre dans son bulletin d’informations. Bien qu'il ne soit pas interdit de jouer ‘Les Préludes’ en Allemagne, l'œuvre a toujours une connotation très négative chez nos voisins de l'Est.

‘La Symphonie Fantastique’ d’Hector Berlioz

Ce qui rend ‘La Symphonie Fantastique’ si spéciale, c'est que Berlioz l'a écrite comme une déclaration d'amour. En 1827, le compositeur français s'était épris de l'actrice irlandaise Harriet Smithson lors d'une série de représentations à Paris, mais la jeune femme avait dans un premier temps rejeté ses avances. En réponse, Berlioz composa 'La Symphonie Fantastique' et sa suite 'Lélio'. Lorsque l'actrice entendit ces deux œuvres en 1832 et apprit qu'elles avaient été écrites pour elle, elle voulut rencontrer Berlioz. Ils tombèrent rapidement amoureux et se marièrent en 1834 à l'ambassade britannique de Paris. Malheureusement, leur histoire d'amour ne connut pas une fin heureuse. Harriet était devenue jalouse du succès artistique de son mari et le couple se sépara au bout d'une dizaine d'années, alors que Berlioz avait entamé une liaison avec une cantatrice de l'Opéra de Paris.

La Symphonie n°102 de Joseph Haydn

Cette symphonie en quatre mouvements, considérée par beaucoup d'experts comme la meilleure œuvre de Haydn, n’est pas seulement connue pour son exécution magistrale. Autrefois, ce morceau était également surnommé la "Symphonie du miracle" car, lors d'une représentation, un énorme candélabre s'était effondré. Mais cet incident n’aurait apparemment blessé aucun spectateur, car le public était tellement captivé par la performance qu’il s’était massé à l'avant de la salle. En raison de l'erreur d'un expert, on a longtemps pensé que l'incident s'était produit lors d'une exécution de la Symphonie n°96, ce que des recherches ultérieures ont réfuté.

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

Découvrez Pickx Se connecter

Top

Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

Top