Mariés au premier regard, épisode 2: la divine idylle d’Émilie et Ludwig

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les experts semblent avoir bien fait leur travail tant le feeling entre les deux célibataires est instantané. Très à l’aise, Émilie et Ludwig échangent même un baiser. Plus tard, durant la séance photos organisée à Pairi Daiza, ils continuent de se dévoiler l’un à l’autre assez facilement. Mais s’agit-il d’un vrai coup de foudre ou d’un simple soulagement après la montée du stress ? 
 

La réponse arrive lors de l’échange des alliances devant leurs deux familles réunies. L’émotion est immense, tout comme la complicité entre les jeunes mariés. Un véritable soulagement pour leurs parents respectifs.
 

Émilie avoue n’avoir « jamais vécu quelque chose d’aussi fort », tandis que son époux souligne qu’avec elle, tout est « naturel et simple ».
 

Et s’il fallait encore une preuve de leur amour qui sommeille : au moment de s’habiller après leur nuit de noces, ils se rendent compte qu’ils sont même raccords dans la couleur de leurs vêtements ! Prochaine étape de leur nouvelle idylle, la Martinique où ils passeront leur voyage de noces.

 

Également présentés lors du premier épisode, Junior et Manon sont passés par toutes les émotions. De son côté, le jeune homme a peur d’avoir un blocage par rapport au physique de sa promise. Du sien, Manon a déjà connu des désillusions amoureuses par le passé et angoisse fortement.
 

Attentionné, Junior profite de l’essayage de la robe de mariée pour envoyer une lettre et un petit cadeau à sa dulcinée. De quoi atténuer un peu ses craintes et la rassurer avant le grand jour.
 

Quant au troisième couple de l’expérience, il sera constitué de Laura et Nicolas. Tous deux originaires du Brabant wallon, ils travaillent dans le milieu scolaire, pour leur plus grand bonheur. Sur le papier, leur comptabilité de 81,9% ne présage rien d’autre qu’une nouvelle réussite sentimentale.
 

Mais dans les faits, la réalité pourrait être tout autre. Car si la famille de Laura est à fond derrière elle, celle de Nicolas est plus dubitative car il n’a jamais vécu hors du cocon familial. Pour lui, c’est donc un sacré challenge qui se profile.