Pourquoi le Clasico a-t-il été si pauvre ?

Sports | Ce dimanche, Anderlecht et le Standard se sont quittés dos à dos sur un score vierge. Loin des affiches hautes en couleur qu’on a pu connaître dans le passé, ce match était très terne. Tentative d’explication avec Proximus Pickx.

De Pickx

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Habituellement, un Clasico entre Anderlecht et le Standard amène de la passion, de l’intensité et des buts. Mais ce week-end, rien de tout cela pour les ennemis jurés de Jupiler Pro League. Un triste 0-0 est venu sanctionner une rencontre pauvre en jeu, en occasion mais aussi en rythme. On a pu assister, quelle chance, à l’un des plus mauvais Clasico depuis des années.

Un 0-0 entre les deux équipes, cela n’arrive pas souvent. La dernière fois, c’était le 29 janvier 2017. Et avant cela, il faut remonter au 6 avril 2013 ! Autant dire que le match de ce week-end restera dans l’Histoire… mais pas pour de bonnes raisons. Mais comment expliquer la pauvreté du spectacle offert par les deux équipes ?

Standard européen

En déplacement à Bruxelles, le Standard a clairement laissé l’initiative du jeu à son adversaire. Rien d’anormal finalement : Anderlecht était chez lui et le Standard, devant au classement, pouvait très bien se contenter d’un partage. Aux Mauves à faire la différence.

Mais jeudi dernier, les troupes de Philippe Montanier ont aussi (et surtout) laissé beaucoup d’énergie dans leur rencontre européenne. Contre le Lech Poznan, les Rouches ont tout donné pour décrocher une victoire sur le fil tout en étant réduit à 10 pendant 45 minutes. En présentant un bloc serré et relativement bas, le Standard jouait la carte de l’économie tout en cadenassant le jeu.

Les maladresses anderlechtoises

En face, Anderlecht a pris ses responsabilités, dominant le jeu. Les Mauves ont eu la possession, ont remporté la majorité des duels, ont multiplié les courses… Sans jamais parvenir à prendre en défaut l’arrière-garde liégeoise. Dussenne, Bokadi, Laifis ou Fai ont livré une belle prestation, jamais vraiment mis en danger.

Car aux abords du rectangle, les hommes de Vincent Kompany ont bafouillé leur football. Nmecha, Bundu, ou Vlap se sont montrés particulièrement indigents en zone de conclusion, Bodart n’ayant finalement quasi rien eu à faire.

L’absence de public n’est pas non plus à négliger. Dans une telle rencontre, les supporters peuvent enflammer le match en portant leurs hommes et en mettant de la pression sur les adversaires. Une tension qu’on n’a jamais retrouvée durant les 90 minutes de cette rencontre.

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