Covid-19 : la peur s'installe doucement dans le noyau de Westerlo

Sports | Le KVC Westerlo est aux prises avec un nombre croissant de contaminations au Covid-19 dans son noyau. Après le report de la rencontre face au KMSK Deinze, c'est le match prévu ce vendredi face au Club NXT qui a du être postposé. Et le virus semble continuer à progresser dans le noyau campinois. Au point que les joueurs s'en inquiètent...

De Tagtik

Partager cet article

On compte désormais 12 cas de personnes positives au Covid-19 au sein du noyau du KVC Westerlo. Un chiffre en augmentation puisque la semaine passée, les cas avérés étaient au nombre de 10. Une situation qui a conduit aux reports des rencontres face à Deinze et face aux Espoirs brugeois du Club NEXT. Une des hypothèses envisagées est celle d'un individu fortement contaminant qui infecterait de l'intérieur le noyau du club campinois. 
 
"C'est vraiment bizarre...", explique Eric Reenaerts, le T2 du club, en charge du suivi des tests. "Lundi, presque tous les joueurs ont été soumis à un test. Les résultats de ces tests n'ont révélé aucune nouvelle infection. Un nouveau test, effectué mardi, a ensuite mis en évidence deux nouveaux cas positifs", explique-t-il en substance dans une interview à Het Gazet van Antwerpen.
 
Eric Reenaerts ne cache pas d'ailleurs qu'une certaine forme d'angoisse commence à s'installer au sein du groupe de joueurs. "La peur est présente chez les joueurs qui balancent entre inquiétude et incertitude. Personne ne sait s'il va être négatif ou positif", précise-t-il en notant qu'il existe de grosses différences d'un joueur à l'autre au niveau de la charge virale. "Certains joueurs sont très positifs et il y a de fortes chances qu'ils en subissent les conséquences pendant deux à trois semaines", conclut-il.

Sur le plan médical comme sur le plan sportif, le KVC Westerlo ne semble pas sorti de l'auberge...
 

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

Découvrez Pickx Se connecter

Top

Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

Top