Malgré l'adversité, les Belges gardent la frite!

Cinéma | Dans “Toujours la frite” sur la RTBF, Thibaut Roland vous accueille chaque jour dans son fritkot pour mettre en lumière le talent et la créativité des Belges durant le confinement. L’émission s’intéressera également à la façon dont les gens réinventent la vie de couple en cette période un peu particulière.

De Pickx

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Le confinement peut être, pour tout le monde, l’occasion de développer ses talents! Laura Dechany, une étudiante en communication de 21 ans, n’a pas dû chercher longtemps avant de trouver de quoi s’occuper. Le fait de devoir rester chez elle lui permet de se plonger encore davantage dans la passion qui l’anime depuis toujours: la musique. Ses cours lui demandant désormais moins de temps qu’avant, la Liégeoise peut se consacrer entièrement au chant et au piano. Le confinement a cela de positif pour Laura qu’il lui a fait prendre conscience de la nécessité d’intégrer la musique dans son quotidien.

La nouvelle vie des couples

Être ensemble 24 heures sur 24, voilà une perspective qui peut peut-être effrayer certains couples. Nathalie et Pascal, de Mont-Saint-Guibert, sont mariés depuis 8 ans et prennent visiblement la chose avec humour: “J'avais déjà remarqué qu’il était lourd avant”. Virginie et Simon, en couple depuis 9 ans, en profitent eux pour faire la grasse matinée. “On dort beaucoup trop et on ne pense qu’à manger!”.

Pour Fabienne et Patrick, mariés depuis 38 ans, le fait de se retrouver confinés ne change pas grand-chose à leur quotidien. Ces forains bruxellois ont en effet toujours travaillé ensemble. Une autre chose ne semble pas vouloir changer: confinement ou pas, Patrick ne fera pas à manger!

Enfin, Estelle, basée à l’île de la Réunion, envoie pour sa part un message rempli d’amour à son grand-père, résident d’une maison de repos en Belgique qui ne peut plus recevoir de visites de sa famille.

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

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